Entretien avec Guillaume Lebourg
« On fait de très beaux stylos pour les écrivain·es, de très beaux ordinateurs pour les gens qui travaillent dans le numérique, et tout ça coûte une blinde. Alors pourquoi n’y aurait-il pas un super transpalette ? L’outil, pour moi, est représentatif des milieux socioprofessionnels. On va glorifier les outils d’une certaine catégorie de métiers, mais pas d’autres. C’est pour ça que j’ai fait toute une série sur les transpalettes. Premièrement les ouvrier·ères les utilisent tout le temps, c’est souvent leur premier outil. Ensuite, je voulais en faire un très bel objet, car c’en est un et c’est une fierté de savoir le manipuler (…) »