Leïla Payet

MÀJ. 27.04.2022

No statues/No statut

« (…) No statues/No statut, projet en différents actes porté en collaboration avec Diana Madeleine, engage une réflexion sur ce qu’est une œuvre, comment se définit la culture et quelles sont les modalités d’existence périphériques de ce que l’on nomme art “primitif” ou “exotique” dans une pensée globalisée. »
Leïla Quillacq

No statues/No statut - Épisode 0, 2019 - ∞
Court-métrage coréalisé avec Diana Madeleine, musique de Mélanie Badal, 4 min 49 s.

No statues/No statut est une recherche en acte conçue comme une « expérience visuelle fragmentaire et liquide », elle opère par changements d’état en explorant la liquidité du film et ses composantes (image, son, écriture, référence, citation, etc.). L’Épisode 0 de cette série ouvre un champ de recherche sur la place de l’art sur le territoire réunionnais. Quel regard porter sur notre environnement ? Comment interagir avec des statues auxquelles on ne prête plus guère attention ? Que signifient ces marqueurs de l’espace public ? Comment prendre soin d’un héritage et se le réapproprier ?

Citation mise en exergue dans le court-métrage :
« (…) Un objet est mort quand le regard vivant qui se posait sur lui a disparu. »
Extraite du film Les statues meurent aussi, de Chris Marker, Alain Resnais et Ghislain Cloquet, 1953.


Partie 1
Partie 2
Partie 3
Partie 4

No statue/No statut - Épisode 1, 2019 - ∞
Conversations de salon, courts-métrages coréalisés avec Diana Madeleine. Musique de Mélanie Badal.
Première partie, 3 min 49 s.
Deuxième partie, 4 min 58 s.
Troisième partie, 4 min 34 s.
Quatrième partie, 4 min 9 s.


L’emprunt, l’association ou l’achat, engage celle·ux intéressé·es à respecter le processus général de mon travail, soit à ouvrir la collaboration, le dialogue et/ou à engager ensemble la réalisation d’une ou plusieurs versions reformulées, qui pourra nécessiter une nouvelle production et ce, pour chaque réactivation (il s’agit d’un protocole dont le processus est sans fin, il est lieu d’accueil à la co-réalisation et à la ré-appropriation post-mortem).